Billet d’humeur. Pendant mon adolescence, j’ai souvent entendu les théâtreux évoquer avec ferveur le TNP de Jean Vilar. Dans les années 50-60, le Théâtre national populaire, c’était du théâtre “élitaire pour tous”, selon la formule d’Antoine Vitez, autrement dit, des spectacles de qualité accessibles au plus grand nombre. Le mot “populaire” n’était pas alors considéré comme infamant et n’avait pas encore été remplacé par celui plus cool et faussement révolutionnaire de “pop”… qui donnera naissance au “pop art”. Mais tout artiste ne devrait-il pas avoir l’ambition d’être populaire ? Pardon, “pop” ? Florence Guernalec
Le New Yorker à la française
Depuis 1993, la Française Françoise Mouly officie aux Unes de l’hebdomadaire américain The New Yorker. La directrice artistique - Mme Art Spiegelman (“Maus”) à la ville - puise dans un vivier d’illustrateurs pour trouver la couv’ qui fera The talk of the town.
Foresti x Adjani, mélange des genres
Les César réservent parfois de très bonnes surprises. La rencontre entre la maîtresse de cérémonie Florence Foresti et la star Isabelle Ajdani fait partie des séquences cultes où le spectateur va de surprises en surprises. A regarder… jusqu’à la chute.
Un jour presque ordinaire
Le court-métrage d’animation de Wendy Tilby et Amanda Forbis, “When the Day breaks”, met en scène nos vies ordinaires avec un sens du détail et des “petites choses” qui font notre quotidien. Parfois, un banal accident vient nous rappeler la fragilité de nos existences…
Joe Hisaishi, un lyrisme débordant
Le compositeur japonais Joe Hisaishi s’est notamment fait connaître en signant les bandes originales des films de Takeshi Kitano et Hayao Miyasaki. Un lyrisme débordant qui contraste avec la violence de certains films qu’il met en musique à l’image d’“Hana-Bi”.