Billet d’humeur. J’ai une tendresse particulière pour ces anonymes qui laissent libre cours à leur imagination et à leur poésie dans l’espace public. Il y a ceux qui écrivent des avertissements absurdes sur les trottoirs : “Ne pas marcher ici x chute de pingouins” ! D’autres préfèrent des messages plus philosophiques et énigmatiques comme celui découvert sur la vitre d’une rame de métro : “The fences around your garden won’t keep the sky from fallin’” (“les barrières autour de votre jardin n'empêcheront pas le ciel de tomber”). Et puis, il y a ceux qui vont droit au but et expriment leurs désirs sur les affiches publicitaires : “Que Dieu bénisse le clitoris” ! Un art de la formule qui fait sourire et percute les esprits.
Quand la parole prend la clé des champs
Quand la parole prend la clé des champs
Quand la parole prend la clé des champs
Billet d’humeur. J’ai une tendresse particulière pour ces anonymes qui laissent libre cours à leur imagination et à leur poésie dans l’espace public. Il y a ceux qui écrivent des avertissements absurdes sur les trottoirs : “Ne pas marcher ici x chute de pingouins” ! D’autres préfèrent des messages plus philosophiques et énigmatiques comme celui découvert sur la vitre d’une rame de métro : “The fences around your garden won’t keep the sky from fallin’” (“les barrières autour de votre jardin n'empêcheront pas le ciel de tomber”). Et puis, il y a ceux qui vont droit au but et expriment leurs désirs sur les affiches publicitaires : “Que Dieu bénisse le clitoris” ! Un art de la formule qui fait sourire et percute les esprits.